National Journal Papers

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    Segmentation d’Images numériques : Un état de l’art des différentes méthodes.
    (CERIST, Alger, 2002) Meziane, Abdelkrim
    Une image est une représentation planaire d’une scène ou d’un objet situé en général dans un espace tridimensionnel. L’information élémentaire associée à chaque point de l‘image est transcrite en niveau de gris ou en couleur . L’analyse pertinentes de l’image en regard de l’application concernée, les traiter et les interpréter. La segmentation est un traitement de bas -niveau qui consiste à créer une partition de l’image en sous-ensembles appelés régions. Une région est un ensemble connexe de points images (pixel) ayant des propriétés communes ( intensité, texture,...) qui les différencient des pixels des régions voisines. Les connaissances utilisées sont le plus souvent du domaines de l’images numérique et du traitement du signal, donc sémantiquement assez pauvres. Il n’y a pas de méthodes unique de segmentation d’une image, le choix d’une technique est lié à plusieurs facteurs. Du fait de cette diversité, il est difficile de définir de manière absolu une « bonne » segmentation. La segmentation n’est pas une fin en soi, sa qualité est fonction des résultats obtenus par les traitements situés en aval qui utilisent les primitives extraites. Nous allons dans cet article faire un survol des méthodes de segmentations les plus utilisées.
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    Systèmes d’Information en Imagerie Médicale : Moyen de diagnostic, de thérapie et d’économie
    (CERIST, Alger, 2001) Meziane, Abdelkrim
    Les images médicales numérisées obtenues par les différentes modalités existantes, et traitées par des ordinateurs de plus en plus performants, sont devenues un moyen très puissant de diagnostic. Elles permettent de suivre dans le temps une pathologie, comparer une image à une autre ayant des caractéristiques connues, avoir une vue en 3D qui puisse renseigner réellement sur l’organe étudié, fusionner des images de modalités différentes pour en tirer une qui soit plus riche en informations, superposer des images pour détecter un changement ... Non seulement l’intérêt pour l’aide au diagnostic n’est plus à démontrer, mais le côté économique n’est pas négligeable non plus. En effet, en Algérie, le patient reste responsable des films qui lui sont délivrés. Ces films sont pour la plupart du temps perdus, non identifiés (nom, date, ...), ou tout simplement abîmés à cause de différents facteurs. Les médecins sont obligés parfois de faire faire au patient plusieurs fois la même radiographie. Le parc algérien d’appareils d’imagerie médicale n’est pas connu de façon exhaustive, d’autant plus que ce parc n’appartient pas uniquement aux hôpitaux. En effet, le privé s’est doté d’un nombre considérable d’appareils. La politique de santé algérienne fait que l’état réserve une partie importante de son budget aux soins. Une part de ce budget va aux examens complémentaires tels que les images qui sont très chères et payées par le contribuable.Des solutions existent pour réduire ces coûts, en investissant un peu au début